CAPOXI (Capacité Oxydante de l’Atmosphère)
« ICE MEMORYYYY »
— Anonyme, réflexion sur les impacts environnementaux.
Qu’est-ce que la capacité oxydante ?
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L’événement de Minamata survenu au Japon dans les années 1950-1960 est un des exemples les plus emblématique des conséquences de la pollution au mercure sur l’environnement et la santé humaine. Il s’agit d’une intoxication massive de la population locale par du mercure rejeté dans les eaux par une usine dans la baie de minamata.
Sous l’effet de bactéries présentes dans l’eau, ce mercure s’est transformé en méthyl mercure qui est un composé hautement toxique comparé au mercure élémentaire. En milieu aquatique, le méthyl mercure s’accumule dans les chaînes alimentaires. Ce phénomène de bioaccumulation augmente les risques pour les consommateurs humains en bout de chaine alimentaire ( consommation de thon, espadon ..). Le méthyl, mercure qui a tendance à s’accumuler dans les poissons et fruits de mer consommés par les habitants, a entrainé une intoxication grave appelée maladie de Minamata qui se traduisait par des troubles neurologiques sévères, des malformations et de nombreux décès.
Cet événement ayant marqué les esprits a sensibilisé le monde entier aux risques liés à la pollution au mercure. Il a conduit à des réglementations internationales telle que la « Convention de Minamata » sur le mercure adoptée en 2013 qui vise à réduire les émissions et les rejets de cet élément. Aujourd’hui, le suivi du mercure dans l’atmosphère et dans l’eau est crucial pour prévenir de telles tragédies et pour protéger à la fois l’environnement et la santé humaine.
Le cycle global du mercure rend l’analyse complexe car il peut se volatiliser, circuler dans l’atmosphère à l’échelle planétaire, puis retomber sous forme de dépôts humides ou secs contaminant ainsi les sols et les eaux. Les émissions provenant des activités humaines telles que les centrales au charbon, les industries chimiques ou l’orpaillage ( afin d’agglomérer l’or) augmentent significativement la pollution au mercure.
Face à ces dangers, les programmes de suivi sont devenus indispensables. Les stations de surveillance mesurent les émissions de mercure dans l’air, tandis que des analyses des sols, des eaux et des produits alimentaires permettent d’évaluer les niveaux de contamination.
Le cycle de l’oxyde d’azote et du nitrite
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Le cycle du mercure désigne la manière dont il circule dans l’environnement entre l’atmosphère, les sols, l’eau et les êtres vivants. Le mercure (Hg) existe sous différentes formes chimiques : élémentaire (Hg0), inorganique et organique tel que le méthylmercure qui représente la forme la plus toxique et bioaccumulable dans les chaines alimentaires.
Initialement, le mercure est présent de manière naturelle dans les sources tel que les éruptions volcaniques et les éruptions sous marines (hyperthermales). Il est ensuite relâché dans l’atmosphère sous forme élémentaire gazeuse (Hg0). Sa durée de vie atmosphérique peut aller de plusieurs mois à un an ce qui lui permet de se déplacer sur de longues distances. Ce mercure gazeux peut donc se retrouver dispersé sur toute la planète avant de se déposer sous forme de dépôts sec ou humide au sol ou dans l’eau.
Le mercure dans l’eau se trouve sous sa forme oxydée (Hg2+) qui, dans certains milieux aquatiques peut se transformer à l’aide des bactéries en methylmercure (HgCH3). Ce composé représente le plus grand danger de l’émission de mercure car toxique pour l’Homme et l’environnement.
Ce cycle est d’autant plus perturbé par les émissions anthropiques très nombreuses tel que l’orpaillage, la combustion des énergies fossiles et la métallurgie. Cette accumulation de mercure est problématique car il s’agit d’un élément peu réactif et bien qu’il puisse se déposer, il est souvent réémis par les océans et les feux de forêt. Cette réémission crée un cycle quasiment permanent de mercure entre les différents compartiments environnementaux et limite la diminution de cet élément chimique dans nos différents milieux.
Pourquoi l’île d’Amsterdam ?
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L’événement de Minamata survenu au Japon dans les années 1950-1960 est un des exemples les plus emblématique des conséquences de la pollution au mercure sur l’environnement et la santé humaine. Il s’agit d’une intoxication massive de la population locale par du mercure rejeté dans l’environnement par une usine dans la baie de minamata. Sous l’effet de bactéries présentes dans l’eau, ce mercure s’est transformé en méthyl mercure qui est un composé hautement toxique comparé au mercure élémentaire. En milieu aquatique, le méthyl mercure s’accumule dans les chaînes alimentaires. Ce phénomène de bioaccumulation augmente les risques pour les consommateurs humains en bout de chaine alimentaire ( consommation de thon, espadon ..). Le méthyl mercure qui a tendance à s’accumuler dans les poissons et fruits de mer consommés par les habitants, a entrainé une intoxication grave appelée maladie de Minamata qui se traduisait par des troubles neurologiques sévères, des malformations et de nombreux décès.
Cet événement ayant marqué les esprits a sensibilisé le monde entier aux risques liés à la pollution au mercure. Il a conduit à des réglementations internationales telle que la « Convention de Minamata » sur le mercure adoptée en 2013 qui vise à réduire les émissions et les rejets de cet élément. Aujourd’hui, le suivi du mercure dans l’atmosphère et dans l’eau est crucial pour prévenir de telles tragédies et pour protéger à la fois l’environnement et la santé humaine.
Le cycle global du mercure rend l’analyse complexe car il peut se volatiliser, circuler dans l’atmosphère à l’échelle planétaire, puis retomber sous forme de dépôts humides ou secs contaminant ainsi les sols et les eaux. Les émissions provenant des activités humaines telles que les centrales au charbon, les industries chimiques ou l’orpaillage ( afin d’agglomérer l’or) augmentent significativement la pollution au mercure.
Face à ces dangers, les programmes de suivi sont devenus indispensables. Les stations de surveillance mesurent les émissions de mercure dans l’air, tandis que des analyses des sols, des eaux et des produits alimentaires permettent d’évaluer les niveaux de contamination.
L’instrumentation sur base
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L’événement de Minamata survenu au Japon dans les années 1950-1960 est un des exemples les plus emblématique des conséquences de la pollution au mercure sur l’environnement et la santé humaine. Il s’agit d’une intoxication massive de la population locale par du mercure rejeté dans l’environnement par une usine dans la baie de minamata. Sous l’effet de bactéries présentes dans l’eau, ce mercure s’est transformé en méthyl mercure qui est un composé hautement toxique comparé au mercure élémentaire. En milieu aquatique, le méthyl mercure s’accumule dans les chaînes alimentaires. Ce phénomène de bioaccumulation augmente les risques pour les consommateurs humains en bout de chaine alimentaire ( consommation de thon, espadon ..). Le méthyl mercure qui a tendance à s’accumuler dans les poissons et fruits de mer consommés par les habitants, a entrainé une intoxication grave appelée maladie de Minamata qui se traduisait par des troubles neurologiques sévères, des malformations et de nombreux décès.
Cet événement ayant marqué les esprits a sensibilisé le monde entier aux risques liés à la pollution au mercure. Il a conduit à des réglementations internationales telle que la « Convention de Minamata » sur le mercure adoptée en 2013 qui vise à réduire les émissions et les rejets de cet élément. Aujourd’hui, le suivi du mercure dans l’atmosphère et dans l’eau est crucial pour prévenir de telles tragédies et pour protéger à la fois l’environnement et la santé humaine.
Le cycle global du mercure rend l’analyse complexe car il peut se volatiliser, circuler dans l’atmosphère à l’échelle planétaire, puis retomber sous forme de dépôts humides ou secs contaminant ainsi les sols et les eaux. Les émissions provenant des activités humaines telles que les centrales au charbon, les industries chimiques ou l’orpaillage ( afin d’agglomérer l’or) augmentent significativement la pollution au mercure.
Face à ces dangers, les programmes de suivi sont devenus indispensables. Les stations de surveillance mesurent les émissions de mercure dans l’air, tandis que des analyses des sols, des eaux et des produits alimentaires permettent d’évaluer les niveaux de contamination.
Utilisation des données
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L’événement de Minamata survenu au Japon dans les années 1950-1960 est un des exemples les plus emblématique des conséquences de la pollution au mercure sur l’environnement et la santé humaine. Il s’agit d’une intoxication massive de la population locale par du mercure rejeté dans l’environnement par une usine dans la baie de minamata. Sous l’effet de bactéries présentes dans l’eau, ce mercure s’est transformé en méthyl mercure qui est un composé hautement toxique comparé au mercure élémentaire. En milieu aquatique, le méthyl mercure s’accumule dans les chaînes alimentaires. Ce phénomène de bioaccumulation augmente les risques pour les consommateurs humains en bout de chaine alimentaire ( consommation de thon, espadon ..). Le méthyl mercure qui a tendance à s’accumuler dans les poissons et fruits de mer consommés par les habitants, a entrainé une intoxication grave appelée maladie de Minamata qui se traduisait par des troubles neurologiques sévères, des malformations et de nombreux décès.
Cet événement ayant marqué les esprits a sensibilisé le monde entier aux risques liés à la pollution au mercure. Il a conduit à des réglementations internationales telle que la « Convention de Minamata » sur le mercure adoptée en 2013 qui vise à réduire les émissions et les rejets de cet élément. Aujourd’hui, le suivi du mercure dans l’atmosphère et dans l’eau est crucial pour prévenir de telles tragédies et pour protéger à la fois l’environnement et la santé humaine.
Le cycle global du mercure rend l’analyse complexe car il peut se volatiliser, circuler dans l’atmosphère à l’échelle planétaire, puis retomber sous forme de dépôts humides ou secs contaminant ainsi les sols et les eaux. Les émissions provenant des activités humaines telles que les centrales au charbon, les industries chimiques ou l’orpaillage ( afin d’agglomérer l’or) augmentent significativement la pollution au mercure.
Face à ces dangers, les programmes de suivi sont devenus indispensables. Les stations de surveillance mesurent les émissions de mercure dans l’air, tandis que des analyses des sols, des eaux et des produits alimentaires permettent d’évaluer les niveaux de contamination.